
Le mot en lui-même est la contraction de Print Club dans la prononciation japonaise, un exemple de wasei-eigo (de l'« anglais » qui n'existe qu'en japonais).
Conjointement développé par Atlus et Sega, le premier purikura a été vendu en juillet 1995.
Ces photomatons sont extrêmement populaires au Japon ainsi qu'à Taïwan ; beaucoup de salles d'arcade ont un niveau entièrement dédié à ces machines. Ces machines sont plus grandes qu'un photomaton classique, et offrent de nombreuses options. Une cabine typique est suffisamment grande pour accueillir huit personnes, et certaines sont encore plus grandes.
Cela coûte habituellement entre 300 et 600 yen par tour.
Parfois, des perruques et autres outils de cosplay, à utiliser dans la machine, sont à louer par toute personne que cela pourrait intéresser.
Quand de la monnaie est insérée, entre deux et dix images différentes peuvent être prises.
Les images peuvent être alors décorées sur l'écran avec un nombre considérable de tampons virtuels, bordures, textes...
Durant ce temps, de la musique Jpop est souvent jouée et une voix suraiguë de femme dirige les occupants dans les différentes étapes via des ordres tels Uan, Tsu, Surii, Pouzu (la prononciation japonaise des mots anglais One, Two, Three, Pose).
Finalement, le nombre et la taille des images à imprimer sont choisies, et après quelques minutes, les photos sont imprimées, sur des feuilles de papiers colorées, à découper et partager au sein du groupe. Généralement, le côté face peut être enlevé, les photos devenant alors autocollantes.
Total-CrazZy-Total-FunNy, Posté le mercredi 13 février 2013 12:22
Sa change des photomaton européen ^^
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