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Création : 17/01/2010 à 07:05 Mise à jour : 23/11/2014 à 15:02

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81 articles taggés Culture asiatique

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L'aojiru

L'aojiru L'aojiru est une boisson japonaise qui est faite pour être en bonne santé !

L'aojiru est enrichi d'une quarantaine de vitamines ( A , B1, B2 , C , E , K ... ) et de minéraux !

Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences ^^

Tags : Culture asiatique
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#Posté le lundi 17 mai 2010 07:36

Modifié le vendredi 04 mars 2011 17:36

Bento

Bento Le bentô est un repas disposé dans une boîte ( bentô bako ) qui est consommé par beaucoup de Japonais ( des écoliers aux salarymen ).

On y trouve presque toujours une portion de riz blanc ( souvent accompagnée d'umeboshi , une prune marinée ) , avec des accompagnements en petites quantités ( croquettes , poisson grillé , algues , radis blanc , omelette japonaise , etc ). C'est souvent un menu varié et équilibré.



On peut les acheter dans les gares ( on les appelle alors les enkiben ) , dans les combinis et chez de nombreux petits traiteurs.

Les boîtes qui contiennent le bentô , en général rectangulaires ou ovales , sont compartimentées et mesurent quelques centimètres d'épaisseur. Autrefois en métal , elles sont aujourd'hui pratiquement toutes en plastique ( et de ce fait jetables ).

On appelle aisai bentô ( bentô de l'épouse aimante ) un bentô préparé avec soin par une épouse pour son mari ( avec harmonie des couleurs dans chaque compartiment , sculpture des légumes...)
On peut les acheter dans les gares ( on les appelle alors les enkiben ) , dans les combinis et chez de nombreux petits traiteurs.

Les boîtes qui contiennent le bentô , en général rectangulaires ou ovales , sont compartimentées et mesurent quelques centimètres d'épaisseur. Autrefois en métal , elles sont aujourd'hui pratiquement toutes en plastique ( et de ce fait jetables ).

On appelle aisai bentô ( bentô de l'épouse aimante ) un bentô préparé avec soin par une épouse pour son mari ( avec harmonie des couleurs dans chaque compartiment , sculpture des légumes...)
Tags : Culture asiatique
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#Posté le lundi 17 mai 2010 08:42

Modifié le vendredi 04 mars 2011 17:36

L'ijime

L'ijime L'ijime (苛め/虐め), « intimidation », est un mot japonais désignant les brimades que subissent ceux qui sont exclus d'un groupe parce que différents et sont pris pour cible. Ce phénomène est non seulement très présent dans le milieu scolaire, mais également dans le milieu professionnel et la vie quotidienne. C'est le symptôme d'une société où l'individu ne peut exister qu'à travers l'appartenance à un groupe : famille, quartier, école, entreprise... D'où le besoin de gommer ses différences, comme dit le proverbe japonais : « le clou qui dépasse appelle le coup de marteau ».
Les brimades infligées peuvent prendre diverses formes : racket, harcèlement, sévices physiques, calomnies, etc.


Aspects sociaux
C'est une cause très importante du suicide chez les jeunes et du hikikomori (enfermement, personnes qui refusent de quitter leur chambre), parce que l'institution scolaire ferme souvent les yeux en cas d'ijime, et les victimes ont souvent trop honte pour chercher de l'aide.
Il n'y a d'ailleurs quasiment pas de structures en place pour traiter ce problème et aider les victimes, le recours aux travailleurs sociaux et psychologues étant très mal vu dans une culture où il est important de garder la face.


Dans la culture japonaise
Misato dans Ki-itchi est un exemple de victime d'ijime et l'écrivain Yū Miri en a souffert durant sa scolarité. Il en est de même pour Suenobu Keiko, célèbre auteur de manga, qui a entre autres écrit et dessiné Life, Happy Tomorrow et surtout l'autobiographique Vitamine paru aux éditions Panini en France. Ces trois manga traitent eux-mêmes de l'ijime. Ou encore mais cette fois en roman Ijimé de Huguette Perol.
Plusieurs séries japonaises (drama) parlent de ce phénomène : LIFE (inspiré du manga du même nom), Nobuta wo Produce, Watashitachi no Kyokasho, ou l'abordent : GTO, Hana Yori Dango, etc.
Tags : Culture asiatique
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#Posté le dimanche 30 mai 2010 08:53

Modifié le vendredi 04 mars 2011 17:35

Hikikomori

Hikikomori Hikikomori (引き篭り) est un mot japonais désignant une pathologie psychosociale et familiale touchant principalement des adolescents ou de jeunes adultes qui vivent cloîtrés chez leurs parents, le plus souvent dans leur chambre pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, en refusant toute communication, même avec leur famille, et ne sortant que pour satisfaire aux impératifs des besoins corporels.
Il y aurait près d'un million de hikikomori au Japon, soit un jeune sur dix, et presque 1 % de la population (qui est de 127 millions). La plupart (environ 77 %) de ces personnes sont de sexe masculin, souvent des fils aînés1.
Ni grabataires, ni autistes, ni retardés mentaux, ils se sentent accablés par la société. Ils ont le sentiment de ne pas pouvoir accomplir leurs objectifs de vie et réagissent en s'isolant de la société.



Les causes de l'isolement
D'abord considéré à tort comme une agoraphobie par les psychologues non-japonais, ce comportement asocial semble pouvoir prendre sa source dans divers phénomènes, tels que :
- des traumatismes familiaux ou extérieurs, trouvant parfois leur origine dans l'enfance, qui privent l'individu de confiance en lui, l'empêchant de se sentir suffisamment en sécurité en dehors de la cellule familiale. Ces traumatismes peuvent trouver leur source dans le phénomène d'ijime (苛め), un certain type de brimades scolaires, bien que cela n'en soit pas nécessairement la cause.
- la relation fusionnelle prolongée que certains aînés mâles entretiennent parfois avec leur mère, appelée populairement mazā konpurekkusu (マザーコンプレックス de l'anglais « mother complex »), ou mazakon (マザコン) en version abrégée. Elle se traduit par une carence dans la socialisation et un retard de langage, l'intolérance aux frustrations et aux contraintes du monde extérieur, à la dyade.
- la grande permissivité ou tolérance du milieu familial japonais, vis-à-vis de l'enfant (enfant-roi et tyran), qui a été décrite par les psychiatres japonais sous le terme d'amae (甘え « fait de chercher à être gâté, choyé ou protégé (surtout par son entourage) »). Elle est renforcée par l'absence patente d'autorité et de rivalité paternelle, de punitions et de châtiments corporels, et par une grande liberté individuelle dans les loisirs et les horaires.
- la forte pression sociale, exercée sur les adolescents et les jeunes adultes dès leur scolarisation. Cette pression se manifeste de diverses façons :
--Une forte pression scolaire relayée par la famille, attitude parentale nommée mamagon (ままごん « mère dragon ») ou kyōiku-mama (教育まま « mère obsédée par l'éducation scolaire ») par les psychosociologues.
--Une pression de groupe exercée très tôt par le système éducatif japonais lui-même, dit gakureki-shakai (学歴社会 « société obnubilée par le cursus scolaire »).



Pression scolaire
Le système scolaire japonais est particulièrement sélectif, et tous les établissements, du jardin d'enfants à l'université, sont classés (parfois uniquement de façon officieuse) en fonction de leur niveau. Lors du passage de l'école primaire au collège, puis du collège au lycée, et enfin du lycée à l'université, les élèves sont soumis à des concours d'entrée, dont la difficulté est déterminée par le rang et la renommée de l'établissement. Certains de ces concours sont si difficiles que nombre d'adolescents, après leur sortie du lycée, sont obligés de réserver une année complète à l'étude (on les appelle alors rōnin), afin de préparer leur entrée à l'université. L'université la plus prestigieuse et dont les examens sont les plus difficiles est l'université de Tōkyō (Todai).
Il peut aussi arriver que la pression scolaire vienne des élèves eux-mêmes, à travers le phénomène d'ijime. Par ce terme on désigne la mise à l'écart et le rejet par un groupe des éléments considérés comme étant « hors-norme » ; rejet qui peut se traduire par des vexations, des moqueries ou même parfois des violences. Ce phénomène, bien qu'existant dans tous les pays, peut prendre des proportions particulièrement importantes au Japon.



Pression sociale
Un syndrome nommé gogatsu-byō (五月病 « mal du mois de mai ») affecte chaque année des milliers de jeunes, au bout d'une période d'un à deux mois après la rentrée universitaire ou, plus souvent, l'embauche. Son nom vient du fait que les écoles et les entreprises, au Japon, fonctionnent toutes au rythme de l'année fiscale (avril à mars). C'est donc systématiquement en avril que l'on fait son entrée dans un nouveau milieu : nouvelle classe pour les étudiants ; nouvelle entreprise pour les jeunes salariés. Ce syndrome se présente comme une dépression réactionnelle, avec dépersonnalisation passagère ou bouffée délirante, touchant généralement les individus les plus brillants intellectuellement, les plus sensibles, et/ou ceux qui viennent de provinces et d'îles éloignées. Ces troubles, souvent expliqués par le facteur passe-partout de stress, révèlent souvent une fragilité de type pré-migrante également très fréquente à la Cité Universitaire de Paris. Ils se résorbent généralement après le retour dans la famille (rapatriement sanitaire) ou peu après l'hospitalisation, mais l'évolution vers des troubles chroniques ou plus sévères n'est pas rare.



Réaction des parents
Avoir un hikikomori à la maison est souvent considéré comme un problème qui doit rester interne à la famille et beaucoup de parents attendent longtemps avant de rechercher l'aide de psychologues. Les thérapeutes sont pourtant très actifs, le Japon étant un des rares pays qui possède une structure de soins à domicile et d'enseignants volontaires. Avoir un fils ou une fille hikikomori à la maison est encore un sujet de honte, un des derniers bastions du haji (恥, « la honte, le déshonneur »). Aussi, au Japon, l'éducation des enfants est traditionnellement assurée par la mère. Le problème du hikikomori est ainsi souvent laissé à la seule charge de la mère. Au début, les parents espèrent que le problème se réglera de lui-même. Ils voient cette situation comme un passage à vide temporaire de leur enfant. Les parents ne savent donc pas quelle attitude adopter. Il est rare qu'ils forcent leur enfant à réintégrer la société.



Dans la culture populaire
--- L'anime NHK ni yōkoso!, diffusé en 2005 au Japon, aborde en profondeur le cas des hikikomori, dans un style tragi-comique.
--- Le court-métrage Shaking Tokyo de Bong Joon-ho, intégré dans le long-métrage Tokyo ! sorti en 2008, aborde lui aussi le cas des hikikomori, de façon poétique.
--- La pièce de théâtre Le Grenier de Yōji Sakate (éditions Les Solitaires Intempestifs, janvier 2010).
--- Le manga Sayonara Zetsubō Sensei inclut comme personnage secondaire une femme hikikomori
Tags : Culture asiatique
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#Posté le dimanche 30 mai 2010 09:06

Modifié le vendredi 04 mars 2011 17:35

Le jôshi ( ou shinjû ) : Le double suicide amoureux

Le jôshi ( ou shinjû ) : Le double suicide amoureuxMoins connu en Occident que le Seppuku, le Shinjuu est une forme de suicide romantique à la Roméo et Juliette. Il est le sujet de prédilection du théâtre Kabuki et du Bunraku (théâtre de marionnettes). Le même décor historique est souvent mis en scène : celui de la période Tokugawa. Le gouvernement militaire prit des mesures visant à préserver l'idéal du code samurai des basses considérations matérielles face à l'influence grandissante des marchands. Les lieux de cantonnement militaires furent séparés physiquement des quartiers commerciaux. Les Samurais se voyaient aussi interdire toute possession immobilière. Dans un effort d'isoler la vertu, les quartiers des plaisirs furent cantonnés à la lisière des grandes villes. Les jeunes filles y étaient vendues. Ces infortunées étaient licenciées à vie. Toutefois, des passions ne manquaient pas de se développer entre des prostituées et des Samouraï. L'amour n'avait alors que deux issues : l'une était de réunir l'argent nécessaire pour affranchir la jeune fille ; l'autre était Shinjû, le double suicide amoureux qui réunit les amants dans la mort. A l'époque, les pièces de Kabuki contant ce type de tragédies amoureuses eurent tellement de succès qu'elles firent des émules. Le nombre de Roméos et de Juliettes fut tel, que le gouvernement dut prendre des mesures pour interdire la pratique : toute cérémonie funéraire était entre autre interdite pour les amants ayant commis Shinjû, et les corps étaient laissés à la vue des passants. Ce fut la seule période dans l'histoire du Japon pendant laquelle le suicide fut considéré comme illégal.



D
e nos jours, les causes sont souvent moins romantiques, mais toute une catégorie de suicides présente une certaine parenté avec la période Tokugawa. Ils possèdent tous une caractéristique commune : les participants expriment par leur acte une sorte de pulsion fusionnelle. Outre le suicide amoureux, ils incluent « oyako-shinjû » ou le suicide parent-enfant ; le « boshi-shinjû » ou mère-enfant ; le fushi-shinjû ou père-enfant ; et le « ikka-shinjû », le suicide de toute une famille. Si le nombre de ce type de suicide a décliné depuis les années 50, il existe toujours. Le scénario classique implique une famille prise dans des tourments financiers. Les parents devant l'impossibilité d'assumer leur famille financièrement ont parfois recours à l'irréparable ; ce qui pourrait être vu comme un infanticide s'explique très humainement par le fait qu'il serait inacceptable dans la culture nipponne d'abandonner sa progéniture. Il reste une sympathie populaire pour ce genre de cas. A ce titre, le fait-divers suivant est intéressant, illustrant la fracture culturelle : peu de temps après qu'elle eu appris la relation extra conjugale de son mari, une américaine d'origine et de culture japonaise tenta de se noyer dans la baie de Santa Monica ; elle plongea avec ses deux enfants en bas age. Les secours furent rapides mais pas assez pour les mômes. Seule la mère survécut. Elle fut jugée pour meurtre. Cette affaire fit alors grand bruit au Japon où l'on s'étonna de la sévérité du jugement.

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#Posté le dimanche 30 mai 2010 09:14

Modifié le vendredi 04 mars 2011 17:41

Lost in Japan (documentaire sur Tokyo) : 2009

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#Posté le dimanche 30 mai 2010 14:22

Love Hotel

Love Hotel

On trouve les love hotel un peu partout dans l'Archipel, regroupés aux abords des quartiers chauds comme:
le Susukino de Sapporo
le Kabukichô de Shinjuku (sur une colline de Shibuya).


Un love hotel se reconnaît à son architecture européenno-hollywoodienne précieuse et kitsch, et à sa rangée de fausses fenêtres. Il porte souvent un nom français (« Soleil », « Amour »), voire approximativement français (« Labien »).

Bien sûr, on vient en couple dans un love hotel, pour se divertir deux heures ou une nuit. Mais s'il s'agit d'un établissement de province, que vous êtes gaïjin*(ETRANGER EN JAPONAIS) et que vous ne parlez pas japonais (ou faites semblant), vous pouvez espérer y entrer tout seul : la patronne ne saura pas comment vous expliquer que vous n'êtes pas tout à fait à votre place et vous laissera passer la nuit. Un bon moyen de voyager pas cher dans le Japon.À l'intérieur du love hotel, un habile jeu de portes, panneaux électroniques et guichets aveugles assure une discrétion bon enfant



QUEL STYLE DE CHAMBRE VOUS POUVEZ AVOIR ?


_Chambres jungle (ambiance GRRRRRR!!)
_Cabine de bateau (ambiance Plouf !!)
_Cachot SM (ambiance cri !!)
_Maison de poupée (ambiance joue avec moi...)
_Clinique privée(ambiance infirmerie et qui dit infirmerie dit infirmière )
_Destination...



QUE POUVEZ VOUS TROUVER DANS UN LOVE HOTEL ?


1 - Des mouchoirs en papier, à volonté !!!

2 - Les préservatifs. Ils sont en général offerts par deux, sur le bord de la console ou glissés sous l'oreiller. Au delà de deux usages, on peut demander du renfort à la réception.

3 - Le programme des films pornographiques. Gratuit mais logiquement sans intérêt (sauf, peut-être, pour le gaïjin*(ETRANGER) qui a réussi à entrer tout seul).

4 - La carte des vibromasseurs. Toutes formes, tous usages, mais payants.

5 - La console, jeux de lumières et radio. Une longueur d'onde pour tous les goûts, reggae, bossa nova, rock, variété japonaise (à éviter), bal musette, chanson française et Radio France International. Les love hotel sont encore le meilleur endroit pour avoir tranquillement des nouvelles de France.

6 - Le téléphone, pour passer commande d'un vibromasseur ou d'un rab de préservatif.

7 - La poubelle, discrète au coin du lit, mais fort utile.

LES PRIX


Entre 5000 et 10 000 yens la chambre ( 35 à 70 euros )

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#Posté le jeudi 17 juin 2010 12:22

Modifié le vendredi 04 mars 2011 17:41

Teru teru bōzu

Teru teru bōzuLe teru teru bōzu (てるてる坊主) est une petite poupée artisanale fabriquée avec du papier ou du tissu blanc que l'on accroche aux fenêtres des maisons avec une corde les jours de pluie au Japon. Cette sorte d'amulette est censée faire revenir le beau temps. Il arrive parfois d'en accrocher un pour s'assurer qu'il ne pleuvra pas, par exemple la veille d'un évènement (pique-nique notamment).
Il tient son nom du verbe japonais « teru » (briller) et du mot « bōzu » (le bonze).
Sa popularité remonte à l'ère Edo. Il est encore très courant d'en voir au Japon, bien que leur efficacité ne soit toujours pas scientifiquement prouvée.

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#Posté le dimanche 20 juin 2010 03:55

Modifié le vendredi 04 mars 2011 17:40

Le sake

Le sakeEn français, le mot saké désigne une boisson alcoolisée japonaise. Il s'agit d'un alcool de riz, produit comme la bière par fermentation répétée, titrant de 14 à 17°. En japonais, bien que ce même terme sake (酒) ou o-sake (, お酒) désigne cette boisson, son sens peut s'étendre selon le contexte à toute boisson alcoolisée, aussi les Japonais utilisent-ils parfois le terme Nihonshu (日本酒 littéralement « alcool japonais »), pour être plus spécifique.
Par extension et de façon impropre ce terme peut être employé pour désigner le « vin de riz » chinois, ou baijiu, qui a pourtant peu de points communs si ce n'est l'ingrédient principal, ou le Mei Kwei Lu servi en fin de repas dans les restaurants chinois.




Qu'est-ce que le saké ?
Le moromi, une étape de la fabrication du saké.
Bien que parfois abusivement baptisé Japanese wine par les Japonais eux-mêmes, le saké, au sens strict de Nihonshu, est une « bière de riz », c'est-à-dire une eau de source dans laquelle on a fait étuver et fermenter du riz, après saccharification à l'aide d'un ingrédient traditionnel appelé kōji (麹 permettant de se passer du maltage utilisé pour d'autres alcools).
Cet agent de saccharification est un champignon ascomycète, le kōji-kin (麹菌), dont le nom scientifique est Aspergillus flavus var. oryzae.
La fermentation alcoolique a ensuite lieu grâce à l'action de différentes levures.
La proportion de kōji est importante : au moins 15 %[précision nécessaire].
La qualité d'un saké dépend de trois facteurs essentiels définis par la formule waza-mizu-kome :
le savoir-faire (waza) du maître brasseur ;
la qualité de l'eau (mizu) ;
la qualité du riz (kome) et le degré de son polissage.
Les proportions requises sont 80 % d'eau et 20 % de riz. Les riz sont soigneusement sélectionnés parmi une cinquantaine de variétés à saké, les plus prestigieux étant le Yamada-nishiki (山田錦), Omachi (雄町), Gohyakuman-goku (五百万石) et Miyama-nishiki (美山錦).
Le riz est poli pour le débarrasser des graisses et de l'albumine, jusqu'à ne laisser que le c½ur du grain, riche en amidon. Ce pourcentage, exprimant le résidu, varie d'un type de saké à l'autre (de 35 % à 76% du grain initial). Plus le grain est poli (fraisé), plus le taux résiduel ou seimaibuai (精米歩合) sera bas, et plus le saké sera fin.
Sauf exception, le saké ne se conserve pas plus d'un an après sa mise en bouteille.
Chaque région du Japon a son cru : les régions de Niigata et de Aomori sont très renommées, mais de modestes jizake (sakés de pays) réservent de bonnes surprises.


Des appellations incontrôlées
Le saké diffère des autres alcools servis dans les restaurants chinois et vietnamiens d'Europe, appelées abusivement saké par les consommateurs ou même les serveurs. Il s'agit le plus souvent d'alcool de riz Mei Kwei Lu ou Baijiu (白酒), chinois ou de « Lúa mới » (Nouvelle récolte) vietnamien. L'agent qui est à la base de leur transformation en alcool est un autre champignon, Choum-choum (Rhizopus oryzae).


Catégories de saké


Seishu est l'appellation officielle pour distinguer le nihonshu des autres alcools. Il est divisé en quatre grandes catégories de saké en fonction de leur nature :

Nigorizake (濁り酒? « trouble, nuageux, brut ») est un saké non filtré, à l'ancienne. Il est moins alcoolisé et de saveur douceâtre, sa consommation reste marginale. Son équivalent coréen est le makkolli ;
Namazake (生酒? « cru ») désigne tout saké non pasteurisé (chauffé une seule fois avant l'expédition), quelle que soit sa catégorie. Ceci est rendu possible grâce aux progrès de la filtration. De saveur piquante et rafraîchissante, il se consomme froid ;
Futsūshu (普通酒? « standard, de table ») est le saké le plus consommé (deux-tiers de la production), aucune contrainte de taux de polissage du riz, ni d'additifs ne lui est appliqué. Il peut même être dilué et mélangé à l'affinage. Il est le plus souvent consommé chaud (kan, hitohada, atsukan) ;
Tokutei-meishōshu (特定名称酒? équivalent de notre « appellation contrôlée, de qualité supérieure »). Environ 20 % du marché. Il réunit les appellations contrôlées suivantes, en fonction du seimai-buai (pourcentage de riz restant après polissage, de l'addition ou non d'alcool et de la technique de brassage) :
Honjōzō-shu (本醸造酒?) : seimai-buai à 70%, kōji 15 %, et addition d'alcool distillé avant la filtration. C'est le plus vendu des sakés supérieurs ;
Junmai-shu (純米酒? « pur riz, sans alcool ajouté ») : autrefois astreint à un seimai-buai de 70 % minimum, il est à présent libre (à condition de préciser le taux sur l'emballage), ce qui a motivé la création de sous-catégories :
Tokubetsu-junmai-shu (特別純米酒? extra pur) ;
Junmai-ginjōshu (純米吟醸酒?), garantissant un seimai-buai inférieur à 60-70 % ;
Ginjō-shu (吟醸酒?) seimai-buai de 60 %, à fermentation lente à basse température ;
Daiginjō-shu (大吟醸酒?) : saké plus raffiné (seimai-buai de 35 % à 50 %), à brassage artisanal, mais additionné d'alcool ;
Junmai-daiginjō-shu (純米大吟醸酒?) : comme ci-dessus mais sans addition d'alcool. Il est considéré au Japon comme le sommet de l'art du brassage, donnant un bouquet subtil mais aromatique, une saveur fruitée-complexe, et son prix est en conséquence très élevé.


Les différents termes
 
Température de dégustation
Hiya (冷) : saké servi froid (8 à 12°C), surtout pour les grands crus ou les jizake servis à l'apéritif
Kan (燗) : saké chauffé (dans son tokkuri ou dans un grand verre), traditionnellement au bain-marie, mais de plus en plus au four à micro-ondes (qui disposent au Japon d'un programme spécifique kanzake). Dans la restauration, il est possible de préciser, à la commande:
Atsukan (熱燗) : il est chauffé à 50°C. Cette préparation s'approche d'un grog en hiver, et le saké contient alors moins d'alcool, en partie perdu par évaporation. Cette préparation est généralement réservé aux sakés de table.
Hitohada (人肌, textuellement "peau humaine") : il est chauffé à température du corps, soit 36-37°C.


Qualités organoleptiques
Nihonshudo (日本酒度) : échelle hydrométrique allant de +10 (sec) à -20 (doux, moelleux)
Parfois réduite à la mention amakuchi (甘口, doux) ou karakuchi (辛口, sec), et deux valeurs intermédiaires, yaya-amakuchi, yaya-karakuchi ;
Sando (酸度) : échelle indiquant le degré d'acidité du saké (exprime en millilitres la quantité d'hydroxyde de sodium qu'il faudrait rajouter à dix millilitres de saké pour obtenir un pH neutre (7))
Seimai-buai (精米歩合) : chiffre indiquant le pourcentage de riz perlé restant après le polissage, en général entre 30 et 70 %


Récipients :
Tokkuri (徳利) : pichet à saké en porcelaine, rarement en verre ou en bambou;
Choshi : pichet à saké en céramique ou plus souvent en métal, avec une anse et un bec verseur.
Sakazuki (杯) : petite coupe à saké très évasée en porcelaine ou plus rarement en bois. Utilisé essentiellement pour les situations formelles et notamment dans un masu comme lors du mariage shintoïste.
Guinomi : coupe à saké, d'environ, 6 à 7 cm de diamètre. Il est préféré au sakazuki dans les situations informelles. Gui signifie boire d'un trait.
Ochoko : petite coupe à saké, plus petite que le guinomi, d'environ 5 cm de diamètre.
Masu(枡) : gobelet cubique en bois.


Autres termes
Genshu, (原酒) : saké pur, sans addition d'eau au moment de l'expression du moromi. Il titre à 18-20°.
Moromi (諸味) : nom que prend le kōji dans la seconde étape, après ajout de l'eau, pour former un moût. Le terme s'applique au saké (moût alcoolique) comme au shōyu.
Kasu (粕) : terme désignant les lies résiduelles de saké, de miso, ou autres, utilisées comme saumure ou engrais.
Kura ou Sakagura (酒蔵) : désigne la brasserie (équivalent de cave et chais pour le vin).
Kuroshu (黒酒) : saké à base de riz complet, non décortiqué (玄米), proche de la méthode chinoise.
Koshu (古酒) : « vieille réserve », saké spécial de couleur jaunâtre et saveur mielleuse, se conservant 10 à 20 ans.
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